Généalogie de mes brêlons...
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Généalogie de mes brêlons...
Bon, puisque ça fait passer le temps, je fais comme tout le monde, petit coup d'oeil à mes machines possédées dans le passé ^^
Il s'agit donc de toutes les machines que j'ai eu en location long terme ou en achat, sur la période qui va de mon permis de moto obtenu en mars 2012, jusqu'à aujourd'hui:
La première, celle qui m'a fait "découvrir", juste après être sorti de la ER-6n de l'auto-école. Un moteur joueur, une machine qui était très sympa, le seul regret était les vibrations aux 4500 tr, et puis le fait qu'il s'agissait d'une machine de location, elle avait bien vécu.
Peut-être l'une de celles qui m'a le plus impressionné, car je me suis retrouvé à la conduire après deux mois à peine de permis. Un beau 1000, même si elle était bridée, un coffre sympa, agrémentée d'une bonne plage d'utilisation. Je découvre le "souffle" propre aux machines de plus de 1000cm, et une agilité vraiment sympa sur cette belle pièce de chez Honda.
La consécration. Ma première "vraie" machine achetée, et la moto pour laquelle j'ai passé le permis, dont je suis tombé amoureux à sa sortie en 1999, tout gamin. La moto aussi pour laquelle j'ai eu le plus de menaces de mort, de "tu vas te tuer avec ça". Je rentre dans une dimension complètement à part, je découvre la peur de tourner la poignée, même si je n'avais jamais vraiment été un fou furieux dans ce domaine là. Chaque démarrage est un bonheur, chaque coup d'oeil à la machine me fait vibrer. Puis la réalité du quotidien s'impose à moi: L'Haya n'est pas faite pour des missions citadines, mon quotidien très urbain à ce moment me ronge, le dos est noué, les poignets sont douloureux. Je me sépare à grand peine de la machine de mes rêves.
La machine contre laquelle j'ai échangé l'Hayabusa. Je n'ai pas vraiment grand-chose à dire sur celle-ci, après une sportive GT, la position me paraît "vieillotte", trop droite. J'ai pris cette Kawa plus par dépit que par autre chose, ne trouvant pas preneur pour l'haya. La seule chose sympa que cette machine me laisse comme souvenir, c'est le bruit. Une double ligne devil lui donnait un barouf d'enfer, avec une pétarade super sympa à la décélération. Du reste, les vibrations omniprésentes dès les 5000 tours la rendaient insupportable à conduire, et le guidonnage se faisait sentir passés les 130 Km/h. J'ai du la sortir 3 fois en un mois, bref, une machine de transition.
Je me retrouve donc, après cette décevante Kawa, en recherche d'autre chose. Obsédé par l'âme, les entrailles de l'Hayabusa, j'entends un jour parler de ce roadster de l'extrême, cette chimère issue des rêves d'un ingénieur sous LSD qui avait décidé de faire "la plus dans tous les domaines". Je vais à Paris Nord, et commence à faire les papiers. Une semaine plus tard, je vais chercher l'engin. Le volume me séduit: elle est massive, musclée à souhait, racée. Le gabarit me plaît, c'est une moto pour moi. Je l'enfourche, sa largeur me donne l'impression de chevaucher un taureau, j'adore cette sensation. Le premier tour de poignée me donne le coup de foudre immédiat: la moto lève, je fais le premier wheeling de ma vie, et je réalise ce qui se passe à l'intérieur de ce monstre. Je signe, chaque accélération est un pari sur sa propre vie, une séance de musculation avec la mort en personne, dont on ressort grandi à chaque fois. Elle se laisse manier, docile, ne cravache pas. La révélation du problème moteur chez Cyril moto me met un gros coup au moral: il faut ramener Béky. Le choc est grand, je me résous à partir sur autre chose.
Je prends un contrecoup complet dans ma recherche, je découvre les joies du moteur britannique, ce trois-cylindre qui cumule le meilleur des deux mondes: agile, racée, stylée, la Speed Triple me convainc, je la prends neuve, une grande première pour moi. Je la rode, et je me découvre des aptitudes à prendre de l'angle comme rarement avant. Le débridage vient, et la révélation se fait: on essore la poignée droite, et on constate un vide, une marque à jamais imprimée au fer blanc dans notre esprit: Une fois qu'on a goûté à l'Hayabusa ou au B-King, le reste devient comme fade. La speed rejoint les rangs de ses aînées, reléguée à "une belle expérience vécue".
Me voilà à ma septième moto en un an, dans moins de cinq jours une nouvelle Béky rejoindra mon garage, celle-ci je l'espère n'ayant pas de soucis. Je suis très impatient, et un peu nostalgique au regard de cette belle généalogie et toutes ces expériences vécues. Qu'on qu'il en soit, j'espère que ma nouvelle monture me durera de belles années, car elle a vraiment tout pour me plaire et me correspondre.
Il s'agit donc de toutes les machines que j'ai eu en location long terme ou en achat, sur la période qui va de mon permis de moto obtenu en mars 2012, jusqu'à aujourd'hui:
La première, celle qui m'a fait "découvrir", juste après être sorti de la ER-6n de l'auto-école. Un moteur joueur, une machine qui était très sympa, le seul regret était les vibrations aux 4500 tr, et puis le fait qu'il s'agissait d'une machine de location, elle avait bien vécu.
Peut-être l'une de celles qui m'a le plus impressionné, car je me suis retrouvé à la conduire après deux mois à peine de permis. Un beau 1000, même si elle était bridée, un coffre sympa, agrémentée d'une bonne plage d'utilisation. Je découvre le "souffle" propre aux machines de plus de 1000cm, et une agilité vraiment sympa sur cette belle pièce de chez Honda.
La consécration. Ma première "vraie" machine achetée, et la moto pour laquelle j'ai passé le permis, dont je suis tombé amoureux à sa sortie en 1999, tout gamin. La moto aussi pour laquelle j'ai eu le plus de menaces de mort, de "tu vas te tuer avec ça". Je rentre dans une dimension complètement à part, je découvre la peur de tourner la poignée, même si je n'avais jamais vraiment été un fou furieux dans ce domaine là. Chaque démarrage est un bonheur, chaque coup d'oeil à la machine me fait vibrer. Puis la réalité du quotidien s'impose à moi: L'Haya n'est pas faite pour des missions citadines, mon quotidien très urbain à ce moment me ronge, le dos est noué, les poignets sont douloureux. Je me sépare à grand peine de la machine de mes rêves.
La machine contre laquelle j'ai échangé l'Hayabusa. Je n'ai pas vraiment grand-chose à dire sur celle-ci, après une sportive GT, la position me paraît "vieillotte", trop droite. J'ai pris cette Kawa plus par dépit que par autre chose, ne trouvant pas preneur pour l'haya. La seule chose sympa que cette machine me laisse comme souvenir, c'est le bruit. Une double ligne devil lui donnait un barouf d'enfer, avec une pétarade super sympa à la décélération. Du reste, les vibrations omniprésentes dès les 5000 tours la rendaient insupportable à conduire, et le guidonnage se faisait sentir passés les 130 Km/h. J'ai du la sortir 3 fois en un mois, bref, une machine de transition.
Je me retrouve donc, après cette décevante Kawa, en recherche d'autre chose. Obsédé par l'âme, les entrailles de l'Hayabusa, j'entends un jour parler de ce roadster de l'extrême, cette chimère issue des rêves d'un ingénieur sous LSD qui avait décidé de faire "la plus dans tous les domaines". Je vais à Paris Nord, et commence à faire les papiers. Une semaine plus tard, je vais chercher l'engin. Le volume me séduit: elle est massive, musclée à souhait, racée. Le gabarit me plaît, c'est une moto pour moi. Je l'enfourche, sa largeur me donne l'impression de chevaucher un taureau, j'adore cette sensation. Le premier tour de poignée me donne le coup de foudre immédiat: la moto lève, je fais le premier wheeling de ma vie, et je réalise ce qui se passe à l'intérieur de ce monstre. Je signe, chaque accélération est un pari sur sa propre vie, une séance de musculation avec la mort en personne, dont on ressort grandi à chaque fois. Elle se laisse manier, docile, ne cravache pas. La révélation du problème moteur chez Cyril moto me met un gros coup au moral: il faut ramener Béky. Le choc est grand, je me résous à partir sur autre chose.
Je prends un contrecoup complet dans ma recherche, je découvre les joies du moteur britannique, ce trois-cylindre qui cumule le meilleur des deux mondes: agile, racée, stylée, la Speed Triple me convainc, je la prends neuve, une grande première pour moi. Je la rode, et je me découvre des aptitudes à prendre de l'angle comme rarement avant. Le débridage vient, et la révélation se fait: on essore la poignée droite, et on constate un vide, une marque à jamais imprimée au fer blanc dans notre esprit: Une fois qu'on a goûté à l'Hayabusa ou au B-King, le reste devient comme fade. La speed rejoint les rangs de ses aînées, reléguée à "une belle expérience vécue".
Me voilà à ma septième moto en un an, dans moins de cinq jours une nouvelle Béky rejoindra mon garage, celle-ci je l'espère n'ayant pas de soucis. Je suis très impatient, et un peu nostalgique au regard de cette belle généalogie et toutes ces expériences vécues. Qu'on qu'il en soit, j'espère que ma nouvelle monture me durera de belles années, car elle a vraiment tout pour me plaire et me correspondre.
Zantetsu- En 250 RGV
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Zantetsu a écrit:
Je me retrouve donc, après cette décevante Kawa, en recherche d'autre chose. Obsédé par l'âme, les entrailles de l'Hayabusa, j'entends un jour parler de ce roadster de l'extrême, cette chimère issue des rêves d'un ingénieur sous LSD qui avait décidé de faire "la plus dans tous les domaines". Je vais à Paris Nord, et commence à faire les papiers. Une semaine plus tard, je vais chercher l'engin. Le volume me séduit: elle est massive, musclée à souhait, racée. Le gabarit me plaît, c'est une moto pour moi. Je l'enfourche, sa largeur me donne l'impression de chevaucher un taureau, j'adore cette sensation. Le premier tour de poignée me donne le coup de foudre immédiat: la moto lève, je fais le premier wheeling de ma vie, et je réalise ce qui se passe à l'intérieur de ce monstre. Je signe, chaque accélération est un pari sur sa propre vie, une séance de musculation avec la mort en personne, dont on ressort grandi à chaque fois. Elle se laisse manier, docile, ne cravache pas. La révélation du problème moteur chez Cyril moto me met un gros coup au moral: il faut ramener Béky. Le choc est grand, je me résous à partir sur autre chose.
Qu'est ce que tu parles bien !
Merci pour ces présentations.
Freeman- Admin
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Re: Généalogie de mes brêlons...
jamais rien entendu d'aussi beau.
fred08- En 400 Bandit
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Manquant d'aptitudes à l'arsouille, je me rattrape ou je peux
Zantetsu- En 250 RGV
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Re: Généalogie de mes brêlons...
sympa de donner tes impressions, mais l'haya en street aurai pût faire l'affaire en ville, plûtot que changer de moto, remplacer le guidon par un droit ?
Re: Généalogie de mes brêlons...
Je n'ai appris que ce truc existait qu'après la vente... Et oui, dans l'idée ça aurait pu le faire, on m'a parlé du guidonnage à haute vitesse, mais sinon, effectivement j'ai regretté
Zantetsu- En 250 RGV
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Je demande ça pour le faire plus tard sur la mienne, parce que les poignets ...
Re: Généalogie de mes brêlons...
Bah j'y ai sérieusement pensé, et dans l'idée apparemment ça marche bien, tu retrouves une position qui semble quand même assez atypique, parce que tes jambes sont repliées et ton buste droit, je ne sais pas si on peut se faire faire des cales pieds plus bas. Et par contre aparemment étant donné que tu changes l'assiette de la machine, tu guidonnes à haute vitesse.
Zantetsu- En 250 RGV
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Moto(s) : B-King full black
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Re: Généalogie de mes brêlons...
pour les cales pieds plus bas, https://b-king.frenchboard.com/t2384p30-si-comme-moi-vous-avez-de-tros-grandes-jambes-pour-la-bking
la protection est moyenne sur l'haya, est reviendrai donc à celle du b king en changeant le guidon par un droit
pour le guidonnage, ça m'alerte sur ce qui m'attend, vu que je roule raisonnablement
la protection est moyenne sur l'haya, est reviendrai donc à celle du b king en changeant le guidon par un droit
pour le guidonnage, ça m'alerte sur ce qui m'attend, vu que je roule raisonnablement
Re: Généalogie de mes brêlons...
beau roman
7 motos en 1 an ,à cette vitesse tu auras eu plus de motos que la plupart d'entre nous , moi avec 30 ans de permis ,j'en suis à ma 12ème motos
7 motos en 1 an ,à cette vitesse tu auras eu plus de motos que la plupart d'entre nous , moi avec 30 ans de permis ,j'en suis à ma 12ème motos
adexel- Modérateur
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Re: Généalogie de mes brêlons...
CA Y EST CA Y EST!
Elle est enfin à la maison. Que de bonheur, de retrouver ces sensations de dingue!
Elle est enfin à la maison. Que de bonheur, de retrouver ces sensations de dingue!
Zantetsu- En 250 RGV
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Re: Généalogie de mes brêlons...
hola que tal
profite bien et bon chois pour la couleur
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l'aigle- Modérateur et Ex organisateur BK-Day
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Freeman- Admin
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Très heureux pour toi!!!
Jean-mich- Admin
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Re: Généalogie de mes brêlons...
tu aurai du prendre une black,avec les grises tu passe jamais la 3eme pour que les blacks puissent te suivent,a la fin c'est lassant,j'aurais sut.
fred08- En 400 Bandit
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Re: Généalogie de mes brêlons...
heureux pour toi
adexel- Modérateur
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Re: Généalogie de mes brêlons...
félicitation, profites de ton monstre et prends bien soins de lui
KAINIX316- En scooter 50 Katana
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Tiens par contre je suis emmerdé, le mec a fait poser un interrupteur pour le bridage/débridage, et le truc c'est que je n'arrive pas à distinguer la différence entre les deux! J'ai cru comprendre qu'à 7000 elle envoie plus, mais soit j'ai vraiment du mal à tirer jusqu'au coin la poignée, soit je sais pas! Du coup j'ai pris quelques photos, peut être saurez vous m'éclairer:
Si vous avez une idée d'à quoi correspond chaque position, je suis preneur, merci !
Si vous avez une idée d'à quoi correspond chaque position, je suis preneur, merci !
Zantetsu- En 250 RGV
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Re: Généalogie de mes brêlons...
hola que tal
j'ai un interrupteur aussi
tu te met en 4 à 3 000 t/mn et gaz en grand arriver apres 7 000 t/mn le compte tour monte encore mais plus la vitesse qui si je me souvient est de 210/220 km/h alors quand mode WASA c'est 280
j'ai un interrupteur aussi
tu te met en 4 à 3 000 t/mn et gaz en grand arriver apres 7 000 t/mn le compte tour monte encore mais plus la vitesse qui si je me souvient est de 210/220 km/h alors quand mode WASA c'est 280
l'aigle- Modérateur et Ex organisateur BK-Day
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Tu ne peux pas te tromper : en 2ème, tu verras vraiment la différence après 7000 tr/mn, y'a pas photo (attention, çà fait déjà du 180...)
Jean-mich- Admin
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Re: Généalogie de mes brêlons...
Je reteste ça ce soir, mais effectivement, ça me soule un peu de risquer mon permis pour voir si ma bécane est bridée ou pas... Je vais faire confiance au coyote sur la grande ligne droite perdue au milieu des champs avant d'arriver chez moi
Zantetsu- En 250 RGV
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