Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Bonne lecture
Habituellement, quand on parle de motos russes, on pense tout de suite à des machines poussives et dépassées. Mais pour aussi incroyable que cela puisse paraître, il a aussi existé des motos de Grand Prix très performantes pour les Championnats du Monde.
L'histoire de la VOSTOCK (qui signifie "EST" en russe) est sur plus d'un point très intéressante. Cette moto, pratiquement inconnue en Europe de l'Ouest, pouvait atteindre les 250km/h, ce qui n'est pas très fréquent pour une moto soviétique, il faut bien l'avouer.
Les débuts
En 1942, alors qu'on était encore en pleine guerre, un centre de recherche, qui prendra par la suite le nom de VNIIMOTOPROM, fut fondé dans la ville de Serpuchov (70 km de Moscou). Ce centre technique travaillait à l'ingénierie de production pour plusieurs usines de motocyclettes soviétiques. A côté de cela le centre construisit ses propres motos de courses. Les premiers modèles furent tout simplement dénommés "S" comme l'initiale de SERPUCHOV. Ces machines étaient dérivées des DKW à compresseur allemandes qui avaient été réquisitionnées par les soviétiques durant le conflit. Comme ces dernières, elles avaient un cylindre dédoublé (une chambre de combustion pour deux pistons). Sur la première et la seconde photo ci-dessus la S2–B 250cc de 1950, 40cv, 175km/h. Auparavant le centre avait réalisé plusieurs clones de cette moto.
Mais quand l'URSS décida de participer à la compétition internationale, le vieux deux-temps allemand fut abandonné et une nouvelle série de motos à quatre temps entièrement conçues en URSS fut construite. Sur la première photo ci-dessus la S–155 monocylindre de 125cc. Sur la seconde et la troisième photo la S–254, 250cc bicylindre et enfin sur la quatrième photo la S–555, toujours un bicylindre mais avec une cylindrée de 500cc. Toutes ces motos (également connues sous la marque SKEB) étaient dessinées par Evgenij Mathiushin. Elles étaient équipées d'un double arbre à cames en tête entrainé par arbre et couple conique. Le cadre était inspiré de celui de la NORTON "Featherbed". Bien que fortement inspirée par de nombreuses machines de l'Ouest, ces motos n'étaient pas de simples copies mais vraiment des machines de conception soviétique à part entière.
Durant les années 1960 ces machines furent radicalement modifiées avec un double allumage et une nouvelle boîte à 6 rapports.
Sur toutes ces machines, le chiffre indique la cylindrée et l'année de construction. Par exemple la S–259 est une 250cc construite en 1959. En 1961 pour la première fois Nikolai Sevostianov obtient une troisième place sur le podium dans une course internationale avec la S–360 bicylindre à Helsinki. Et, dans le Grand Prix d'Allemagne de l'Est, Sevostianov obtient la cinquième place en 250cc et la sixième en 350cc. Ces résultats peuvent paraître médiocre mais ils sont en fait excellent pour un jeune pilote russe débutant !
A partir du bicylindre 350cc fut réalisé une version 500cc (deux photos ci-dessus) par simple réalésage. En 1964, avec cette moto, Sevostianov termina quatrième du Grand Prix d'Allemagne de l'Est derrière Mike Hailwood (MV), Mike Duff (Matchless) et Paddy Driver (Matchless) !!!
Il finit à nouveau quatrième en Finland derrière Jack Ahearn (Norton), Mike Duff (Matchless) et Gyulya Marsovzky (Matchless). On ne peut pas dire qu'il se battait contre des manchots !!!! Il prouvait ainsi que les soviétiques étaient capables de jouer dans la cour des grands....
Mais la même année le véritable défi pour les ingénieurs russes fut le lancement de la première quatre cylindres !
VOSTOCK 4 cylindres :
le fusée russe pour le Championnat du Monde des GP
Cette toute nouvelle moto à quatre cylindres prit le nom de VOSTOCK S–364(photo ci-dessus). C'était une 350cc donnée pour 59cv (mais il semblerait que ceci soit faux, en effet c'était plus que l'imbattable HONDA 350/4 de Jim Redman !) et 230km/h de vitesse maximale.Durant le Grand Prix d'Allemagne de l'Est, deux VOSTOCK pilotées par Nikolai Sevostianov et le jeune pilote estonien Endel Kiisa, prirent les troisième et quatrième places, mais tous les deux furent contraint à l'abandon sur rupture du piston gauche. Lors du Grand Prix de Finland Endel Kiisa, sur VOSTOCK, surpris tout le monde en finissant à la troisième place derrière les deux HONDA de Jim Redman et Bruce Beale !! En 1965, au Grand Prix d'Australie, il se maintint longtemps en première position. Malheureusement, un kilomètre avant la fin, il chuta et dut abandonner. Toujours en 1965, au Grand Prix de Tchécoslovaquie, Nikolai Sevostianov obtint la troisième place derrière Jim Redman (Honda) et Derek Woodman (MZ). Cependant malgré ces excellents résultats, surtout si on considére le peu de courses auxquelles avaient participé l'équipe, le Gouvernement Soviétique, par une décision incompréhensible, mit fin à la participation des motos russes aux Championnats du Monde.
La VOSTOCK reprit part au Championnat du Monde en 1968 avec une nouvelle machine, la S–565, destinée à concourir dans la catégorie la plus élevée des 500cc ( photos ci-dessus). Sur la seconde et la troisième photo Endel Kiisa et Nikolai Sevostianov durant le Grand Prix d'Imatra en Finlande. La VOSTOCK S–565 fut la plus haute expression de la technologie motocycliste soviétique. En comparaison de la S–364, le cadre avait été renforcé et le moteur réalésé à 494cc. La culasse avait également été modifiée et comportait trois soupapes par cylindre (une pour l'admission et deux pour l'échappement). Ce moteur développait 80cv pour une vitesse maximale de 250km/h. Le réservoir, les suspensions et les freins étaient également différents. Au Grand Prix de Finlande, la seule course de cette année-là, Sevostjanov se obtint une très belle quatrième place derrière Agostini, Findlay and Marsowszki !!!
1969 fut la dernière année de participation pour les motos russes, également avec une seule course en Allemagne de l'Est et une modeste dixième place. La Nomenklatura Soviétique n'avait jamais vraiment supporté la VOSTOCK, ne l'autorisant pas à courir dans d'autes pays. Le Gouvernement finit par couper définitivement les crédits pour le développement. LA VOSTOCK continua de courir encore pendant quelques années dans des courses de moindre importance dans les pays du Bloc de l'Est et en Finlande (la Finlande a toujours entretenu des relations particulières avec l'URSS).
Après l'arrêt de la participation au Championnat du Monde, VNIIMOTOPROM, le constructeur de la VOSTOCK, continua à produire des motocyclettes simples et bon marché, destinées aux compétitions nationales. La moto sur les trois premières photos ci-dessus est très différente dela magnifique quatre cylindre. C'est une VOSTOCK 250 MOTOBALL. Le Motoball était un sport très populaire en URSS (et il l'est encore aujourd'hui avec plus de 30.000 spectateurs pour les courses les plus importantes). La VOSTOCK pour ce sport était très simple (peut-être même trop simple...), avec un moteur deux-temps monocylindre refroidi par air de 34cv, boîte à deux rapports seulement mais avec deux leviers de commande, un de chaque côté de la moto pour faciliter le jeu. Au début des années 1990 VNIIMOTOPROM traversa une crise grave et fut privatisé. La production de motocyclettes fut définitivement arrêtée. Vraiment dommage !!!!! En résumé, la VOSTOCK restera dans l'histoire comme la seule moto russe vraiment moderne et comparable avec celles de l'Ouest au niveau de la technologie et des performances. Cette quatre cylindres (mais aussi quelques bicylindres) était potentiellement capable d'obtenir de bons résultats, surtout si on considére qu'à part les MV Agusta et les HONDA, ses seules rivales étaient les monocylindres britaniques sur le déclin et facile à battre pour une "quatre pattes" bien étudiée. Malheureusement, sans le support financier d'une production de série, la VOSTOCK resta un simple outil de propagande pour le sport soviétique. Mais les fonds necessaires furent refusés, comme pour toute activité non militaire en URSS....
Habituellement, quand on parle de motos russes, on pense tout de suite à des machines poussives et dépassées. Mais pour aussi incroyable que cela puisse paraître, il a aussi existé des motos de Grand Prix très performantes pour les Championnats du Monde.
L'histoire de la VOSTOCK (qui signifie "EST" en russe) est sur plus d'un point très intéressante. Cette moto, pratiquement inconnue en Europe de l'Ouest, pouvait atteindre les 250km/h, ce qui n'est pas très fréquent pour une moto soviétique, il faut bien l'avouer.
Les débuts
En 1942, alors qu'on était encore en pleine guerre, un centre de recherche, qui prendra par la suite le nom de VNIIMOTOPROM, fut fondé dans la ville de Serpuchov (70 km de Moscou). Ce centre technique travaillait à l'ingénierie de production pour plusieurs usines de motocyclettes soviétiques. A côté de cela le centre construisit ses propres motos de courses. Les premiers modèles furent tout simplement dénommés "S" comme l'initiale de SERPUCHOV. Ces machines étaient dérivées des DKW à compresseur allemandes qui avaient été réquisitionnées par les soviétiques durant le conflit. Comme ces dernières, elles avaient un cylindre dédoublé (une chambre de combustion pour deux pistons). Sur la première et la seconde photo ci-dessus la S2–B 250cc de 1950, 40cv, 175km/h. Auparavant le centre avait réalisé plusieurs clones de cette moto.
Mais quand l'URSS décida de participer à la compétition internationale, le vieux deux-temps allemand fut abandonné et une nouvelle série de motos à quatre temps entièrement conçues en URSS fut construite. Sur la première photo ci-dessus la S–155 monocylindre de 125cc. Sur la seconde et la troisième photo la S–254, 250cc bicylindre et enfin sur la quatrième photo la S–555, toujours un bicylindre mais avec une cylindrée de 500cc. Toutes ces motos (également connues sous la marque SKEB) étaient dessinées par Evgenij Mathiushin. Elles étaient équipées d'un double arbre à cames en tête entrainé par arbre et couple conique. Le cadre était inspiré de celui de la NORTON "Featherbed". Bien que fortement inspirée par de nombreuses machines de l'Ouest, ces motos n'étaient pas de simples copies mais vraiment des machines de conception soviétique à part entière.
Durant les années 1960 ces machines furent radicalement modifiées avec un double allumage et une nouvelle boîte à 6 rapports.
Sur toutes ces machines, le chiffre indique la cylindrée et l'année de construction. Par exemple la S–259 est une 250cc construite en 1959. En 1961 pour la première fois Nikolai Sevostianov obtient une troisième place sur le podium dans une course internationale avec la S–360 bicylindre à Helsinki. Et, dans le Grand Prix d'Allemagne de l'Est, Sevostianov obtient la cinquième place en 250cc et la sixième en 350cc. Ces résultats peuvent paraître médiocre mais ils sont en fait excellent pour un jeune pilote russe débutant !
A partir du bicylindre 350cc fut réalisé une version 500cc (deux photos ci-dessus) par simple réalésage. En 1964, avec cette moto, Sevostianov termina quatrième du Grand Prix d'Allemagne de l'Est derrière Mike Hailwood (MV), Mike Duff (Matchless) et Paddy Driver (Matchless) !!!
Il finit à nouveau quatrième en Finland derrière Jack Ahearn (Norton), Mike Duff (Matchless) et Gyulya Marsovzky (Matchless). On ne peut pas dire qu'il se battait contre des manchots !!!! Il prouvait ainsi que les soviétiques étaient capables de jouer dans la cour des grands....
Mais la même année le véritable défi pour les ingénieurs russes fut le lancement de la première quatre cylindres !
VOSTOCK 4 cylindres :
le fusée russe pour le Championnat du Monde des GP
Cette toute nouvelle moto à quatre cylindres prit le nom de VOSTOCK S–364(photo ci-dessus). C'était une 350cc donnée pour 59cv (mais il semblerait que ceci soit faux, en effet c'était plus que l'imbattable HONDA 350/4 de Jim Redman !) et 230km/h de vitesse maximale.Durant le Grand Prix d'Allemagne de l'Est, deux VOSTOCK pilotées par Nikolai Sevostianov et le jeune pilote estonien Endel Kiisa, prirent les troisième et quatrième places, mais tous les deux furent contraint à l'abandon sur rupture du piston gauche. Lors du Grand Prix de Finland Endel Kiisa, sur VOSTOCK, surpris tout le monde en finissant à la troisième place derrière les deux HONDA de Jim Redman et Bruce Beale !! En 1965, au Grand Prix d'Australie, il se maintint longtemps en première position. Malheureusement, un kilomètre avant la fin, il chuta et dut abandonner. Toujours en 1965, au Grand Prix de Tchécoslovaquie, Nikolai Sevostianov obtint la troisième place derrière Jim Redman (Honda) et Derek Woodman (MZ). Cependant malgré ces excellents résultats, surtout si on considére le peu de courses auxquelles avaient participé l'équipe, le Gouvernement Soviétique, par une décision incompréhensible, mit fin à la participation des motos russes aux Championnats du Monde.
La VOSTOCK reprit part au Championnat du Monde en 1968 avec une nouvelle machine, la S–565, destinée à concourir dans la catégorie la plus élevée des 500cc ( photos ci-dessus). Sur la seconde et la troisième photo Endel Kiisa et Nikolai Sevostianov durant le Grand Prix d'Imatra en Finlande. La VOSTOCK S–565 fut la plus haute expression de la technologie motocycliste soviétique. En comparaison de la S–364, le cadre avait été renforcé et le moteur réalésé à 494cc. La culasse avait également été modifiée et comportait trois soupapes par cylindre (une pour l'admission et deux pour l'échappement). Ce moteur développait 80cv pour une vitesse maximale de 250km/h. Le réservoir, les suspensions et les freins étaient également différents. Au Grand Prix de Finlande, la seule course de cette année-là, Sevostjanov se obtint une très belle quatrième place derrière Agostini, Findlay and Marsowszki !!!
1969 fut la dernière année de participation pour les motos russes, également avec une seule course en Allemagne de l'Est et une modeste dixième place. La Nomenklatura Soviétique n'avait jamais vraiment supporté la VOSTOCK, ne l'autorisant pas à courir dans d'autes pays. Le Gouvernement finit par couper définitivement les crédits pour le développement. LA VOSTOCK continua de courir encore pendant quelques années dans des courses de moindre importance dans les pays du Bloc de l'Est et en Finlande (la Finlande a toujours entretenu des relations particulières avec l'URSS).
Après l'arrêt de la participation au Championnat du Monde, VNIIMOTOPROM, le constructeur de la VOSTOCK, continua à produire des motocyclettes simples et bon marché, destinées aux compétitions nationales. La moto sur les trois premières photos ci-dessus est très différente dela magnifique quatre cylindre. C'est une VOSTOCK 250 MOTOBALL. Le Motoball était un sport très populaire en URSS (et il l'est encore aujourd'hui avec plus de 30.000 spectateurs pour les courses les plus importantes). La VOSTOCK pour ce sport était très simple (peut-être même trop simple...), avec un moteur deux-temps monocylindre refroidi par air de 34cv, boîte à deux rapports seulement mais avec deux leviers de commande, un de chaque côté de la moto pour faciliter le jeu. Au début des années 1990 VNIIMOTOPROM traversa une crise grave et fut privatisé. La production de motocyclettes fut définitivement arrêtée. Vraiment dommage !!!!! En résumé, la VOSTOCK restera dans l'histoire comme la seule moto russe vraiment moderne et comparable avec celles de l'Ouest au niveau de la technologie et des performances. Cette quatre cylindres (mais aussi quelques bicylindres) était potentiellement capable d'obtenir de bons résultats, surtout si on considére qu'à part les MV Agusta et les HONDA, ses seules rivales étaient les monocylindres britaniques sur le déclin et facile à battre pour une "quatre pattes" bien étudiée. Malheureusement, sans le support financier d'une production de série, la VOSTOCK resta un simple outil de propagande pour le sport soviétique. Mais les fonds necessaires furent refusés, comme pour toute activité non militaire en URSS....
lautomat- En 1000 SV
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
t as bien fait de changer ta bk
belle meule
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Invité- Invité
Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
ouais elle est un peu plus maniable
lautomat- En 1000 SV
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Marrante la Vostock motoball
Vince- En 1800 Intruder
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Aie, aie, aie !! Ca va partir
Vince- En 1800 Intruder
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
KILEKON .................. MAIS KILEKON
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
J - 253
Bonjour a tout le monde et plus particulièrement à SURFEUR
Bonjour a tout le monde et plus particulièrement à SURFEUR
Invité- Invité
Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Le Prowler est une interprétation moderne des hot-rod des années 40-50. Il se caractérise par des roues avant non recouvertes par la carrosserie, à l'image des monoplaces de Formule Indy.
Lors du lancement en 1997, le Prowler est motorisé par un V6 3.5 L de 215 ch issu de la Chrysler Concord, associé à une boite automatique à 4 rapports. Alors qu'un hot-rod se doit d'offrir des accélérations "de folie", les performances du Prowler sont décevantes, malgré l'utilisation de l'aluminium dans la construction du châssis (afin de limiter le poids).
En 1999, le moteur affichera la puissance de 253 ch, mais sera toujours couplé à la boite automatique 4 rapports. Les performances progresseront légèrement, mais sans faire du Prowler un foudre de guerre.
Plymouth prowler 253 HP
Afin d'équilibrer les masses entre l'avant et l'arrière, la boite est montée à l'arrière selon le système transaxle (comme les Corvette, Porsche 928). La répartition s'approche de l'idéal 50/50.
Le Prowler est la première Plymouth à propulsion depuis la Plymouth Gran Fury de 1989. Bien que critiqué pour ne proposer qu'un V6 de 3.5 L, le moteur offrait une puissance comparable au V8 Magnum contemporain. Le poids relativement léger du Prowler permettant d'afficher des performances remarquables, sans être exceptionnelles.
La voiture utilise beaucoup d'aluminium dans sa construction, principalement dans le châssis. Dans de nombreux cas, les composants ont été collées. La carrosserie a été produite à Shadyside, Ohio, et la voiture a été assemblée à la main à l'usine de "Conner Avenue Assemblée (CAAP)" de Detroit, Michigan.
En raison d'une capacité de coffre très limitée, il était possible de commander une remorque reprenant la partie arrière d'un Prowler. Elle pouvait être commandée de la même couleur que la voiture et était équipée de roues plus petites.
Lors du lancement en 1997, le Prowler est motorisé par un V6 3.5 L de 215 ch issu de la Chrysler Concord, associé à une boite automatique à 4 rapports. Alors qu'un hot-rod se doit d'offrir des accélérations "de folie", les performances du Prowler sont décevantes, malgré l'utilisation de l'aluminium dans la construction du châssis (afin de limiter le poids).
En 1999, le moteur affichera la puissance de 253 ch, mais sera toujours couplé à la boite automatique 4 rapports. Les performances progresseront légèrement, mais sans faire du Prowler un foudre de guerre.
Plymouth prowler 253 HP
Afin d'équilibrer les masses entre l'avant et l'arrière, la boite est montée à l'arrière selon le système transaxle (comme les Corvette, Porsche 928). La répartition s'approche de l'idéal 50/50.
Le Prowler est la première Plymouth à propulsion depuis la Plymouth Gran Fury de 1989. Bien que critiqué pour ne proposer qu'un V6 de 3.5 L, le moteur offrait une puissance comparable au V8 Magnum contemporain. Le poids relativement léger du Prowler permettant d'afficher des performances remarquables, sans être exceptionnelles.
La voiture utilise beaucoup d'aluminium dans sa construction, principalement dans le châssis. Dans de nombreux cas, les composants ont été collées. La carrosserie a été produite à Shadyside, Ohio, et la voiture a été assemblée à la main à l'usine de "Conner Avenue Assemblée (CAAP)" de Detroit, Michigan.
En raison d'une capacité de coffre très limitée, il était possible de commander une remorque reprenant la partie arrière d'un Prowler. Elle pouvait être commandée de la même couleur que la voiture et était équipée de roues plus petites.
lautomat- En 1000 SV
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Super excelent -253EME JOUR AVANT BKD
La peche canne a peche ?
La peche canne a peche ?
Vince- En 1800 Intruder
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Age : 40
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Moto(s) : B-King gris/noir
Date d'inscription : 03/10/2010
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Événements
Début de la période des Trente Tyrans dans l'empire romain (fin en 270). Ce sont pour la plupart des généraux des armées de la frontière proclamés empereurs par leurs soldats pour lutter contre l’envahisseur. L'année est marquée par deux usurpations et le décès de deux prétendants à l'empire :
Avril-mai : Profitant de ses succès dans une campagne contre les Goths, Émilien, gouverneur de Mésie se proclame empereur.
Valérien, chargé de réprimer l'usurpation d'Émilien est proclamé empereur à son tour.
Août : Durant une attaque contre Émilien, son successeur comme gouverneur de Moesia, l'empereur Gallus est tué par ses propres troupes.
Émilien meurt peu après, tué par ses soldats.
Début du règne de Valérien, empereur romain, qui commande les troupes romaines en Rhétie. >260 De vieille famille sénatoriale, il s’efforce de restaurer l’autorité impériale et de lui rendre sa stabilité. Son fils, Gallien, est associé au pouvoir et gouverne en Occident, tandis que lui-même se réserve l’Orient.
25 juin : Début du pontificat de Lucius Ier. >254. Il est arrêté presque immédiatement après son élection et exilé.
Malgré un traité signé avec Rome, les Goths envahissent l’Asie Mineure. Ils pillent Éphèse et Pessinonte.
Destruction de la Stoa d’Eumène, à Athènes, pour construire la nouvelle enceinte de la ville (253-260).
Les Francs et les Alamans envahissent la Gaule. Lutèce est incendiée. Les Francs atteignent les Pyrénées (256) et les Alamans avancent en Italie jusqu’à Milan (261).
Campagne sassanide en Mésopotamie. Chahpuhr Ier écrase l’armée romaine à Barbalissos. Il occupe temporairement une partie de la Syrie, de la Cilicie et de la Cappadoce. En Arménie, Il remplace Tiridate II par un prince vassal des Perses.
Le médecin chinois Hua-To opère le crâne.
Le prophète Mani, le fondateur du manichéisme, réclame l'égalité complète entre les hommes.
Faraxen, roi Berbère, se révolte contre la domination romaine. Il ne sera capturé qu'en 260.
Décès en 253
Juin : Corneille, en exil.
Trébonien Galle, empereur romain et Volusianus, son fils.
Émilien, empereur romain.
Origène, théologien et philosophe, chef de l'Église d'Alexandrie.
Début de la période des Trente Tyrans dans l'empire romain (fin en 270). Ce sont pour la plupart des généraux des armées de la frontière proclamés empereurs par leurs soldats pour lutter contre l’envahisseur. L'année est marquée par deux usurpations et le décès de deux prétendants à l'empire :
Avril-mai : Profitant de ses succès dans une campagne contre les Goths, Émilien, gouverneur de Mésie se proclame empereur.
Valérien, chargé de réprimer l'usurpation d'Émilien est proclamé empereur à son tour.
Août : Durant une attaque contre Émilien, son successeur comme gouverneur de Moesia, l'empereur Gallus est tué par ses propres troupes.
Émilien meurt peu après, tué par ses soldats.
Début du règne de Valérien, empereur romain, qui commande les troupes romaines en Rhétie. >260 De vieille famille sénatoriale, il s’efforce de restaurer l’autorité impériale et de lui rendre sa stabilité. Son fils, Gallien, est associé au pouvoir et gouverne en Occident, tandis que lui-même se réserve l’Orient.
25 juin : Début du pontificat de Lucius Ier. >254. Il est arrêté presque immédiatement après son élection et exilé.
Malgré un traité signé avec Rome, les Goths envahissent l’Asie Mineure. Ils pillent Éphèse et Pessinonte.
Destruction de la Stoa d’Eumène, à Athènes, pour construire la nouvelle enceinte de la ville (253-260).
Les Francs et les Alamans envahissent la Gaule. Lutèce est incendiée. Les Francs atteignent les Pyrénées (256) et les Alamans avancent en Italie jusqu’à Milan (261).
Campagne sassanide en Mésopotamie. Chahpuhr Ier écrase l’armée romaine à Barbalissos. Il occupe temporairement une partie de la Syrie, de la Cilicie et de la Cappadoce. En Arménie, Il remplace Tiridate II par un prince vassal des Perses.
Le médecin chinois Hua-To opère le crâne.
Le prophète Mani, le fondateur du manichéisme, réclame l'égalité complète entre les hommes.
Faraxen, roi Berbère, se révolte contre la domination romaine. Il ne sera capturé qu'en 260.
Décès en 253
Juin : Corneille, en exil.
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
fallait que je decrotte les rangers...
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Druides
Les druides constituaient l’élite intellectuelle des Celtes. Selon César, une des meilleure sources les concernant, « ils président aux sacrifices publics et privés, règlent les pratiques religieuses ; les jeunes gens viennent en foule s’instruire auprès d’eux, et on les honore grandement. Ce sont les druides, en effet, qui tranchent presque tous les conflits entre États ou entre particuliers et, si quelque crime a été commis, s’il y a eu meurtre, si un différend s’est élevé à propos d’héritage ou de délimitation, ce sont eux qui jugent, qui fixent les compensations à recevoir et à donner ; un particulier ou un peuple ne s’est-il pas conformé à leur décision, ils lui interdisent les sacrifices. C’est chez les Gaulois la peine la plus grave. Ceux qui ont été frappés de cette interdiction, on les met au nombre des impies et des criminels, on s’écarte d’eux, on fuit leur abord et leur entretien, craignant de leur contact impur quelque effet funeste ; ils ne sont pas admis à demander justice ni à prendre leur part d’aucun honneur. Tous ces druides obéissent à un chef unique, qui jouit parmi eux d’une très grande autorité. À sa mort, si l’un d’eux se distingue par un mérite hors ligne, il lui succède ; si plusieurs ont des titres égaux, le suffrage des druides, quelquefois même les armes en décident. Chaque année, à date fixe, ils tiennent leurs assises en un lieu consacré, dans le pays des Carnutes, qui passe pour occuper le centre de la Gaule. Là, de toutes parts affluent tous ceux qui ont des différends, et ils se soumettent à leurs décisions et à leurs arrêts. On croit que leur doctrine est née en Bretagne, et a été apportée de cette île dans la Gaule ; de nos jours encore ceux qui veulent en faire une étude approfondie vont le plus souvent s’instruire là bas.
« Les druides s’abstiennent habituellement d’aller à la guerre et ne paient pas d’impôt comme les autres : ils sont dispensés du service militaire et exempts de toute charge. Attirés par de si grands avantages, beaucoup viennent spontanément suivre leurs leçons, beaucoup leur sont envoyés par les familles. On dit qu’auprès d’eux ils apprennent par ceeur un nombre considérable de vers. Ainsi plus d’un reste-t-il vingt ans à l’école. Ils estiment que la religion ne permet pas de confier à l’écriture la matière de leur enseignement, alors que pour tout le reste en général, pour les comptes publics et privés, ils se servent de l’alphabet grec. Ils me paraissent avoir établi cet usage pour deux raisons : parce qu’ils ne veulent pas que leur doctrine soit divulguée, ni que, d’autre part, leurs élèves, se fiant à l’écriture, négligent leur mémoire ; car c’est une chose courante : quand on est aidé par des textes écrits, on s’applique moins à retenir par ceeur et on laisse se rouiller sa mémoire. Le point essentiel de leur enseignement, c’est que les âmes ne périssent pas, mais qu’après la mort elles passent d’un corps dans un autre ; ils pensent que cette croyance est le meilleur stimulant du courage, parce qu’on n’a plus peur de la mort. En outre, ils se livrent à de nombreuses spéculations sur les astres et leurs mouvements, sur les dimensions du monde et celles de la terre, sur la nature des choses, sur la puissance des dieux et leurs attributions, et ils transmettent ces doctrines à la jeunesse » (Guerre des Gaules, VI, 12-15).
Selon Strabon et d’autres auteurs antiques, la classe intellectuelle des Celtes se subdivisait en trois catégories : les bardes (poètes), les ovates, chargés plus particulièrement des sacrifices et de la divination, enfin les druides proprement dits, qualifiés de philosophes et théologiens, qui s’occupaient de l’interprétation de la nature et de la philosophie morale. Cette troisième catégorie semble être considérée comme la plus prestigieuse, car détentrice du savoir. C’est celle que décrit César. Le gutuater, cité par plusieurs inscriptions et mentionné dans la Guerre des Gaules (VII, 3 ; VIII, 38), est généralement considéré comme un haut responsable des sacrifices.
Nous connaissons un seul druide par son nom, le notable éduen Diviciacos, protagoniste bien connu de la Guerre des Gaules. Cicéron l’avait rencontré à Rome et mentionne sa qualité de druide qui nous serait restée autrement inconnue (De divinatione, I, 41).
L’identification archéologique des druides est difficile et même les cas qui peuvent être considérés comme les plus vraisemblables restent incertains. On peut sélectionner parmi eux plus particulièrement , une sépulture de Pogny -un homme accompagné dans la tombe par des ustensiles rituels, une patère et deux sortes de cuillères
sources : "Les Celtes histoire et dictionnaire " Venceslas Kruta ed Bouquins 2000
Article suivant :
Fîr Bolg (ou Fîr Bholg)
Les druides constituaient l’élite intellectuelle des Celtes. Selon César, une des meilleure sources les concernant, « ils président aux sacrifices publics et privés, règlent les pratiques religieuses ; les jeunes gens viennent en foule s’instruire auprès d’eux, et on les honore grandement. Ce sont les druides, en effet, qui tranchent presque tous les conflits entre États ou entre particuliers et, si quelque crime a été commis, s’il y a eu meurtre, si un différend s’est élevé à propos d’héritage ou de délimitation, ce sont eux qui jugent, qui fixent les compensations à recevoir et à donner ; un particulier ou un peuple ne s’est-il pas conformé à leur décision, ils lui interdisent les sacrifices. C’est chez les Gaulois la peine la plus grave. Ceux qui ont été frappés de cette interdiction, on les met au nombre des impies et des criminels, on s’écarte d’eux, on fuit leur abord et leur entretien, craignant de leur contact impur quelque effet funeste ; ils ne sont pas admis à demander justice ni à prendre leur part d’aucun honneur. Tous ces druides obéissent à un chef unique, qui jouit parmi eux d’une très grande autorité. À sa mort, si l’un d’eux se distingue par un mérite hors ligne, il lui succède ; si plusieurs ont des titres égaux, le suffrage des druides, quelquefois même les armes en décident. Chaque année, à date fixe, ils tiennent leurs assises en un lieu consacré, dans le pays des Carnutes, qui passe pour occuper le centre de la Gaule. Là, de toutes parts affluent tous ceux qui ont des différends, et ils se soumettent à leurs décisions et à leurs arrêts. On croit que leur doctrine est née en Bretagne, et a été apportée de cette île dans la Gaule ; de nos jours encore ceux qui veulent en faire une étude approfondie vont le plus souvent s’instruire là bas.
« Les druides s’abstiennent habituellement d’aller à la guerre et ne paient pas d’impôt comme les autres : ils sont dispensés du service militaire et exempts de toute charge. Attirés par de si grands avantages, beaucoup viennent spontanément suivre leurs leçons, beaucoup leur sont envoyés par les familles. On dit qu’auprès d’eux ils apprennent par ceeur un nombre considérable de vers. Ainsi plus d’un reste-t-il vingt ans à l’école. Ils estiment que la religion ne permet pas de confier à l’écriture la matière de leur enseignement, alors que pour tout le reste en général, pour les comptes publics et privés, ils se servent de l’alphabet grec. Ils me paraissent avoir établi cet usage pour deux raisons : parce qu’ils ne veulent pas que leur doctrine soit divulguée, ni que, d’autre part, leurs élèves, se fiant à l’écriture, négligent leur mémoire ; car c’est une chose courante : quand on est aidé par des textes écrits, on s’applique moins à retenir par ceeur et on laisse se rouiller sa mémoire. Le point essentiel de leur enseignement, c’est que les âmes ne périssent pas, mais qu’après la mort elles passent d’un corps dans un autre ; ils pensent que cette croyance est le meilleur stimulant du courage, parce qu’on n’a plus peur de la mort. En outre, ils se livrent à de nombreuses spéculations sur les astres et leurs mouvements, sur les dimensions du monde et celles de la terre, sur la nature des choses, sur la puissance des dieux et leurs attributions, et ils transmettent ces doctrines à la jeunesse » (Guerre des Gaules, VI, 12-15).
Selon Strabon et d’autres auteurs antiques, la classe intellectuelle des Celtes se subdivisait en trois catégories : les bardes (poètes), les ovates, chargés plus particulièrement des sacrifices et de la divination, enfin les druides proprement dits, qualifiés de philosophes et théologiens, qui s’occupaient de l’interprétation de la nature et de la philosophie morale. Cette troisième catégorie semble être considérée comme la plus prestigieuse, car détentrice du savoir. C’est celle que décrit César. Le gutuater, cité par plusieurs inscriptions et mentionné dans la Guerre des Gaules (VII, 3 ; VIII, 38), est généralement considéré comme un haut responsable des sacrifices.
Nous connaissons un seul druide par son nom, le notable éduen Diviciacos, protagoniste bien connu de la Guerre des Gaules. Cicéron l’avait rencontré à Rome et mentionne sa qualité de druide qui nous serait restée autrement inconnue (De divinatione, I, 41).
L’identification archéologique des druides est difficile et même les cas qui peuvent être considérés comme les plus vraisemblables restent incertains. On peut sélectionner parmi eux plus particulièrement , une sépulture de Pogny -un homme accompagné dans la tombe par des ustensiles rituels, une patère et deux sortes de cuillères
sources : "Les Celtes histoire et dictionnaire " Venceslas Kruta ed Bouquins 2000
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Bravo mon frère
Tout est vrai sauf que j'ai rendu grands services à l'armée et que je m'acquitte de mes impôts
Sinon, intellectuel, sacrifices, érudit et Celte : tout est bon
Merci, ça me change de ma face de rat en photo présente sur le Fofo depuis lundi
Tout est vrai sauf que j'ai rendu grands services à l'armée et que je m'acquitte de mes impôts
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
252 est un nombre palindrome
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Le Druide Breizhmarco a écrit:252 est un nombre palindrome
cherche pas la bagarre a cette heure ci marco
pas d insultes stp
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Événements
Début du règne de Sun Liang sur le royaume de Wu.
La pape Corneille est déporté sur ordre de l'empereur Trébonien Galle à Centumcellae (Civitavecchia) à la fin de l'année.
Début du règne de Sun Liang sur le royaume de Wu.
La pape Corneille est déporté sur ordre de l'empereur Trébonien Galle à Centumcellae (Civitavecchia) à la fin de l'année.
clef à molette- Grand gourou incollable du B-King !!!
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
clef à molette a écrit:Événements
Début du règne de Sun Liang sur le royaume de Wu.
La pape Corneille est déporté sur ordre de l'empereur Trébonien Galle à Centumcellae (Civitavecchia) à la fin de l'année.
les vaches .......et il est revenu aprés ?
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clef à molette- Grand gourou incollable du B-King !!!
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
SdKfz 252 leichte Gepanzerte Munitionskraftwagen
Ce petit véhicule blindé était basé sur le SdKfz 250, semi-chenillé moyen allemand, capable de transporter 4 ou 5hommes armés, en plus des 2 membres d'équipage.
Le SdKfz 252 pouvait emmener 70 obus de 75mm L/24, ou 60 obus de 75mm L/43-L/48. Une remorque, le Munitionsanhänger Sonder-Anhänger (Sd-Anh) 32/A, permettait d'emporter 36 obus supplémentaires, rangés dans des casiers de 2. Le SdKfz 252 était exclusivement utilisé par les Sturmgeschütz-Abteilungen, à raison de 6 par Abteilung (2 par Batterie), et fut produit à 413 exemplaires par Wegmann/Demag à partir de juin 1940, et par Deutsche Werke jusqu'en septembre 1941, date à laquelle il est remplacé sur les chaînes de production par le SdKfz 250/6.
Blindé à 18mm à l'avant, 8mm sur les flancs, à l'arrière, sur le toit et le plancher, il pouvait intervenir sur le terrain rapidement, pour ravitailler les StuGe en manque de munitions.
Le moteur est un Maybach HL 42TRKM de 100CV (en 6 cylindres), propulsant l'engin à 65km/h, et une transmission Variorex (7 vitesses avant et 1 arrière) complète le tout. Autonomie de 320km.
L'équipage était de 2 hommes (conducteur et chef d'engin/mécanicien), et une MG 34 (à 2010 coups) assuraient la défense rapprochée, en tirant à travers les ports de vision latéraux et arrières.
L'équipage disposait du même équipement-radio que les Sturmbatteries : récepteur FuG 15 et récepteur/transmetteur FuG 16.
Poids de 5.73 tonnes, longueur de 4.70, largeur de 1.95m, hauteur 1.8m.
SdKfz 253 leichte Gepanzerte Beobachtungskraftwagen
Basé lui aussi sur le SdKfz 250, cet engin était très semblable à ce dernier : la principale différence étant la présence d'un toit de 8mm sur le SdKfz 253. Comme le Munitionskraftwagen SdKfz 252, il devait équiper les Sturmgeschütze-Batteries en tant que véhicule d'observation d'artillerie, désignant ainsi les cibles et mouvements ennemis aux StuGe.
Avec une large porte blindée à l'arrière, un sas circulaire dans le toit, ainsi qu'un épiscope d'artillerie, le SdKfz 253 était les "yeux" des unités de StuG, et les 25 premiers produits leur fut assignés (2 par Abteilung) en mai/juin 1940. Les 260 exemplaires suivants, produits par Demag jusqu'en juin 1941, furent transférés aux unités d'artillerie, toujours en tant que véhicule d'observation, jusqu'à son remplacement par le SdKfz 250/4, spécialement fabriqué pour les Sturm-Abteilungen, et équipés de FuG 15 et 16.
Le moteur est un Maybach HL 42TRKM, l'autonomie de 320km, et la vitesse maximale de 65km/h.
L'équipage de 4 hommes pouvait se défendre grâce à une MG 34 et quelques grenades.
Blindage, dimensions, poids identiques au SdKfz 252.
Ce petit véhicule blindé était basé sur le SdKfz 250, semi-chenillé moyen allemand, capable de transporter 4 ou 5hommes armés, en plus des 2 membres d'équipage.
Le SdKfz 252 pouvait emmener 70 obus de 75mm L/24, ou 60 obus de 75mm L/43-L/48. Une remorque, le Munitionsanhänger Sonder-Anhänger (Sd-Anh) 32/A, permettait d'emporter 36 obus supplémentaires, rangés dans des casiers de 2. Le SdKfz 252 était exclusivement utilisé par les Sturmgeschütz-Abteilungen, à raison de 6 par Abteilung (2 par Batterie), et fut produit à 413 exemplaires par Wegmann/Demag à partir de juin 1940, et par Deutsche Werke jusqu'en septembre 1941, date à laquelle il est remplacé sur les chaînes de production par le SdKfz 250/6.
Blindé à 18mm à l'avant, 8mm sur les flancs, à l'arrière, sur le toit et le plancher, il pouvait intervenir sur le terrain rapidement, pour ravitailler les StuGe en manque de munitions.
Le moteur est un Maybach HL 42TRKM de 100CV (en 6 cylindres), propulsant l'engin à 65km/h, et une transmission Variorex (7 vitesses avant et 1 arrière) complète le tout. Autonomie de 320km.
L'équipage était de 2 hommes (conducteur et chef d'engin/mécanicien), et une MG 34 (à 2010 coups) assuraient la défense rapprochée, en tirant à travers les ports de vision latéraux et arrières.
L'équipage disposait du même équipement-radio que les Sturmbatteries : récepteur FuG 15 et récepteur/transmetteur FuG 16.
Poids de 5.73 tonnes, longueur de 4.70, largeur de 1.95m, hauteur 1.8m.
SdKfz 253 leichte Gepanzerte Beobachtungskraftwagen
Basé lui aussi sur le SdKfz 250, cet engin était très semblable à ce dernier : la principale différence étant la présence d'un toit de 8mm sur le SdKfz 253. Comme le Munitionskraftwagen SdKfz 252, il devait équiper les Sturmgeschütze-Batteries en tant que véhicule d'observation d'artillerie, désignant ainsi les cibles et mouvements ennemis aux StuGe.
Avec une large porte blindée à l'arrière, un sas circulaire dans le toit, ainsi qu'un épiscope d'artillerie, le SdKfz 253 était les "yeux" des unités de StuG, et les 25 premiers produits leur fut assignés (2 par Abteilung) en mai/juin 1940. Les 260 exemplaires suivants, produits par Demag jusqu'en juin 1941, furent transférés aux unités d'artillerie, toujours en tant que véhicule d'observation, jusqu'à son remplacement par le SdKfz 250/4, spécialement fabriqué pour les Sturm-Abteilungen, et équipés de FuG 15 et 16.
Le moteur est un Maybach HL 42TRKM, l'autonomie de 320km, et la vitesse maximale de 65km/h.
L'équipage de 4 hommes pouvait se défendre grâce à une MG 34 et quelques grenades.
Blindage, dimensions, poids identiques au SdKfz 252.
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
C'est encore un peu trop vieux pour toi papounet
Toi c'est plutôt à partir de 57-60 et encore comme bébé
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
Événements
Juin : Les Goths envahissent la Macédoine.
1er juillet :
Dèce est vaincu et tué par les Goths à la bataille d'Abrittus (trahi par Trébonien Galle ?). Période confuse de succession : Hostilianus, Trebonianus Gallus, Volusien.
Début du règne de Trébonien Galle (Trebonianus Gallus), qui s'adjoint son fils Volusien empereurs romains. >253
Gallus conclut avec les Goths un traité déshonorant.
251 est l'année la plus probable pour dater l'importante épidémie qui frappa les environs de Carthage, évoquée par Saint-Cyprien.
Proche Orient
Le sassanide Chahpuhr Ier intervient en Arménie (251-254). Un prince parthe d’Iran, Anak, se réfugie à la cour du roi d’Arménie Tiridate II ; une fois installé à Artachat, il assassine traîtreusement le roi. Dans la confusion qui suit cet assassinat, les Perses envahissent l’Arménie.
Avant de mourir, Tiridate a eu le temps de faire exécuter Anak et les siens. Seul Grigor, fils d’Anak, échappe au massacre et se réfugie à Césarée de Cappadoce, où il est instruit dans la foi chrétienne. Il se marie, puis divorce au bout de quelques années avec le consentement de sa femme pour se consacrer au sacerdoce. Puis voulant acquitter la dette de son père, il se rend auprès du fils de Tiridate II, le futur Tiridate III, qui avait été envoyé à Rome après l’invasion perse où il avait reçu une éducation militaire.
Religion
Mars : Élection de l'évêque de Rome Corneille. >253
Juin : La persécution des chrétiens cesse à Rome et en Afrique. Novatien se fait élire évêque de Rome contre Corneille qu’il accuse de complaisance à l’égard des lapsi, chrétiens qui avaient faillis lors de la persécution de Dèce. Corneille est élu après 18 mois de vacance du siège pontifical. Il règle la question des lapsi par la clémence avec saint Cyprien et combat Novatien.
Évangélisation en Gaule : Austremoine, Nectaire, Mary, Trophine, etc.
Naissances en 251
Saint Antoine, père des moines ermites, père du monachisme. >356
Décès en 251
1er juillet :
Dèce ou Décius, empereur romain.
Herennius Etruscus, César et fils de Dèce
Hostilien, empereur romain, fils de Dèce et collègue momentané à l'Empire de Trebonien Galle après la disparition de Dèce.
Martyre de sainte Agathe à Catane.
Martyre de l'évêque d'Antioche Babylas
Félicien de Foligno
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Re: Rasso 2012 : Compte à rebours DU B-KING'S DAY
La Bugatti Type 251 est la dernière voiture de Grand-Prix conçue par Roland Bugatti, fils cadet d'Ettore Bugatti (le fondateur). Elle a été construite à hauteur de seulement trois exemplaires de 1955 à 1956. Sous son capot se loge un 8 cylindres 2.5L de 230 chevaux
Année de construction 1955–56
Nombre de véhicules produits 3
Moteur 8 cylindres en ligne, 2 arbres à cames en tête
Cylindrée/Alésage [cm³/mm] 2486/76x68,5
Compresseur –
Carburateur 4 Weber
Puissance [CV par tr/min] 230
Nombre de vitesses avant 5
Traction Entraînement mécanique
Suspension avant Arbre rigide
Suspension arrière De Dion
Freinage Freins à disques
Empattement [m] 2,186 (2,3 pour la 2° version)
Ecartement [m] 1,3, arrière: 1,28
Taille des pneus 17 x 6
Poids [kg] env. 750
C'est en 56 à Reims que la 251 fit son dernier GP aux mains de Maurice Trintignant mais sans succes,
En 1963, la marque et l'usine Bugatti sont revendues au constructeur français Hispano-Suiza.
Année de construction 1955–56
Nombre de véhicules produits 3
Moteur 8 cylindres en ligne, 2 arbres à cames en tête
Cylindrée/Alésage [cm³/mm] 2486/76x68,5
Compresseur –
Carburateur 4 Weber
Puissance [CV par tr/min] 230
Nombre de vitesses avant 5
Traction Entraînement mécanique
Suspension avant Arbre rigide
Suspension arrière De Dion
Freinage Freins à disques
Empattement [m] 2,186 (2,3 pour la 2° version)
Ecartement [m] 1,3, arrière: 1,28
Taille des pneus 17 x 6
Poids [kg] env. 750
C'est en 56 à Reims que la 251 fit son dernier GP aux mains de Maurice Trintignant mais sans succes,
En 1963, la marque et l'usine Bugatti sont revendues au constructeur français Hispano-Suiza.
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